Jeudi 25 décembre 4 25 /12 /Déc 22:30
Encore d'autres images de Noël dans ce nouvel album pour votre plus grand plaisir...
Jingle bells, jingle bells, jingle all the way!
O what fun it is to ride in a one-horse open sleigh,
Jingle bells, jingle bells, jingle all the way!
O what fun it is to ride in a one-horse open sleigh.


Par Belinda - Publié dans : Shemale
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Jeudi 25 décembre 4 25 /12 /Déc 11:59
Joyeux Noël et bonnes fêtes à toutes et à tous !!!
Par Belinda - Publié dans : Shemale
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Dimanche 21 décembre 7 21 /12 /Déc 11:09
Une nouvelle histoire et des photos encore plus chaudes et plus mouillées.

TROUS EN UN
par Frédérique


Certains pensent que le golf est une activité de snobs, principalement destinée à une classe fortunée, en un mot un truc un peu chiant pour des gens qu'on n'a pas spécialement envie de fréquenter.
Ce fut peut-être un peu vrai jusqu'aux années 70 mais depuis la pratique de ce sport (car une partie peut vraiment être sportive) s'est ouverte à tout le monde, les prix pratiqués sont devenus corrects ou, en tous cas, abordables par la plupart des salariés gagnant plus que le SMIC.
Quant à la proportion d'abrutis, de salauds et autres emmerdeurs elle rejoint tout à fait celle des autres activités sportives, c'est-à-dire celle de la population française !
Je ne suis pas une golfeuse très douée, je pratique le golf, en ce qui me concerne, comme un loisir plutôt que comme un sport, mais j'y prends du plaisir et, quelquefois, même beaucoup de plaisir ! Pour les initiés j'ai un handicap de 16, ce qui indique que je joue gentiment, plutôt mieux que la majorité des golfeurs.
Les clubs de golf ont été fortement influencés par l'anglomanie et la plupart des termes sportifs sont anglais ; ce qui n'a rien de surprenant, le sport étant une invention anglaise de la fin du XIXème siècle, on le retrouve dans la plupart des sports et les hommes, grands " footeux " devant l'éternel, ne me contrediront certes pas !
Ainsi donc ce matin là je m'étais préparée avec grand soin, devant participer à une compétition de golf dans un club situé en France, près de la frontière suisse, là où j'habite. Il s'agissait d'une compétition dite en " scramble ", c'est-à-dire en équipe de deux, chaque joueur frappant sa balle puis choisissant celle qui est la mieux placée, retapant chacun leur coup suivant depuis cet endroit et ce jusqu'à qu'une des deux balles entre dans le trou.
En général cela permet de scorer mieux que d'habitude puisqu'on élimine un mauvais coup sur deux. En général mais pas toujours !
Ce jour là le secrétariat du golf, qui répartit les équipes, m'avait donné comme partenaire une jeune femme d'environ 25 ans, une petite blonde tonique, assez jolie, avec de grands yeux bleu clair, des cheveux très courts, et une tenue qui, bien que respectant les règles de " l'étiquette " du golf, assez stricte sur les tenues de jeux, était parfaitement moulante et montrait bien qu'elle se passait de soutif et qu'elle portait un slip brésilien sous son bermuda.
Les deux joueurs de l'équipe adverse, des hommes, semblaient fascinés par ce qu'ils voyaient et échangeaient des regards expressifs.
Cette jeune personne, répondant au nom de Françoise, s'était présentée à moi en souriant et en me serrant la main vigoureusement. M'étant inscrite tardivement pour cette compétition on n'avait pas pu m'adjoindre à un joueur ou une joueuse de mon niveau, ce type de compétition ne le nécessitant d'ailleurs pas, et je m'aperçut qu'elle étai tout à fait débutante : son " handicap " était de 53 ! C'est comme si on m'avait donné comme pilote, en rallye, une conductrice ayant son permis depuis deux semaines !
Au début cela ne se passa pas trop mal, c'était ma balle, la mieux placée, que nous jouions, cette pauvre Françoise loupant presque tous ses coups et restant très courte lorsqu'elle parvenait à lever la balle !
Elle commençait à pâlir de colère ou de honte, je ne sais, et était de plus en plus nerveuse ; nos adversaires, fort " charitables ", ne se privaient pas de regards qui n'étaient pas appréciateurs mais franchement ironiques, voire moqueurs , ce qui n'arrangeait pas son jeu.
Et puis ce qui devait arriver arriva ; elle jouait en premier et elle réussit un superbe coup, le premier, mais malheureusement de travers. On vit la balle s'élever, puis tourner sur la droite et s'enfoncer dans un bois qui bordait le parcours. Le traditionnel " slice " des débutants !
Je lui dit : "Ca n'est pas grave, je vais essayer de rattraper le coup " pour la consoler, et je posais ma balle sur mon tee.
Pourquoi ai-je tapé ma balle si fort au lieu de modérer mon " drive " afin d'assurer une balle jouable au deuxième coup, je n'en sais rien, mais voilà-t-il pas que, comme elle, ma balle s'envole, tourne à droite, et par rejoindre la sienne dans ce bosquet touffu.
Au golf on peu rejouer sa balle, moyennant une pénalité, ou aller la chercher et la jouer d'où elle se trouve. Pourquoi lui ai-je dit " Allons voir laquelle est la moins mauvaise ! ".
Et nous voilà partie toutes les deux dans le bois. Les deux balles étaient entrées nettement et profondément dans les arbres, nous nous enfonçâmes donc dans les buissons, le regard fixé au sol pour essayer de distinguer la petite balle blanche entre les herbes et les branches mortes.
J'allais et venait, tête baissée, toute à ma recherche, quand soudain je me heurtais à Françoise, toute aussi absorbée. Je trébuchais et perdit l'équilibre vers l'avant, Françoise me rattrapa, de face, et nous nous retrouvâmes l'une contre l'autre, nez à nez, ou plutôt bouche à bouche.
Que se passa-t-il dans ma tête à ce moment, je n'en sais rien là non plus, mais je restais immobile, mes lèvres contre les siennes ; elle ne bougeait pas non plus. Laquelle de nous deux a commencé, je l'ignore, mais nous nous retrouvâmes en train de nous rouler une pelle d'enfer, en pleine compétition de golf, à 50m du parcours, cachées par un mince rideau de feuillages.
Combien de temps dura ce baiser, 10, 20, 30 secondes ? Je repris et mon équilibre et mon souffle et je regardais Françoise qui me regardait aussi…
Elle amorça un sourire auquel je répondis, " Tu embrasses bien " dit-elle et revint me plaquer un gros baiser sur les lèvres. " Si tu veux on reparlera de ça quand la partie sera finie " ajouta-t-elle. J'acquiesçais en silence et nous retournâmes sur terrain en déclarant nos balles perdues, nous prîmes un point de pénalité et nous rejouâmes, bien cette fois-ci, nos deux balles.
La fin de la partie se déroula comme dans un rêve pour moi, j'ignore comment j'ai joué ce jour-là, fort mal sans doute, mais je m'en moquais, ce baiser inattendu tournait dans ma tête. Je voyais Française qui me jetais des regards en coin en souriant et cela me troublais beaucoup.
A la fin de la partie je la retrouvais au vestiaire qui se vidait rapidement car nous étions la dernière partie da la compétition. Notre mauvais jeu nous avait, de plus, fait perdre du temps, au grand déplaisir de nos adversaires qui n'avaient cessé de ronchonner sur la fin de la partie.
Elle se dirigea vers une cabine de douche, vêtue dune serviette serrées au dessus des seins elle me planta dans les yeux un regard sans équivoque, complété par un signe du doigt m'invitant à la suivre.
Je n'hésitais pas une seconde, je me déshabillais en un tournemain et, nue comme au premier jour, je me précipitais vers la cabine et ouvrit la porte.
Elle était là, nue, adorable, l'eau qui coulait sur son corps formait des colliers de perles liquides sur sa peau. Je la voyais de dos et me regard se fixa sur ses deux fesses, rondes et musclée, surmontées par deux fossettes au creux de ses reins. Ses jambes étaient fuselées, aux attaches fines.
Elle m'entendit et se retourna, l'endroit valait bien l'envers ; ses deux petits seins pointaient orgueilleusement vers moi et son ventre plat surmontait une toison blonde que l'eau plaquait et qui faisait ressortir l'ourlet de son sexe fendu.
Elle me sourit, me tendit les bras en disant " Viens ! ". Je n'hésitais pas et je me jetais dans ses bras et nous échangeâmes un long baiser. Ses mains avaient glissé le long de mon corps et elles s'étaient arrondies sur chacune de mes fesses qu'elles caressaient.
Puis elles remontèrent et elles englobèrent mes deux seins dont elle pinça les mamelons et les fit tourner entre ses doigts. Cette douce douleur m'arracha un gémissement de plaisir et mes mains, à leur tour, saisirent ses seins et pincèrent ses mamelons.
Elle arrêta notre baiser et se recula, mes doigts tenant toujours ses mamelons qui étaient maintenant dressés et allongés. Elle se pressa contre moi, m'embrassa dans le cou, puis glissa lentement vers le sol, ses lèvres embrassant et caressant ma peau, mes seins, mon ventre, mon nombril, puis s'arrêtant devant mon sexe brun.
Ayant, comme beaucoup, lu des récits érotiques, je pressentais et espérais ce qui allait arriver, sachant au fond de moi que j'avais rêvé de cette caresse.
Elle approcha sa tête de mon sexe et s'arrêta, ses doigts remontèrent le long de mes cuisses et je sentis ses deux pouces se poser sur mes grandes lèvres qu'ils écartèrent avec douceur. J'écartais les cuisses pour lui faciliter las tâche, fascinée par ce spectacle que je n'avais jamais vu : une femme écartant les lèvres de mon sexe, sa tête à 15 cm de celui-ci.
Elle leva les yeux vers moi, sourit, et me dit " Tu as un joli sexe bien ferme, comme je les aime " et elle plongea une langue gourmande dedans qui commença à me lécher de bas en haut, puis atteignit mon clitoris. Je mouillais comme une folle et j'avais arrêté l'eau depuis un moment.
Je me suis appuyé contre la paroi de la douche, j'ai un peu ployé les jambes pour mieux écarter mes cuisses et Françoise enfonça sa tête entre mes jambes, ses mains empoignèrent mes fesses et je sentis un doigt se glisser entre elles, à la recherche de mon anus qu'il trouva. Il le caressa en tournant autour un instant, puis se glissa dedans ; un orgasme puissant m'emporta et, me mordant les lèvres pour ne pas hurler de plaisir, j'ai jouis comme je crois que je n'avais jamais joui. J'étais portée sur une vague de feu qui me labourait le ventre et s'enflait en torrent.
Elle se releva et me donna sa bouche où je pus déguster le plaisir qu'elle m'avait donné. Epuisée je me laissais glisser jusqu'au sol, le dos contre la paroi et les jambes repliées contre moi.
Je la vit debout, face à moi ; elle s'approcha, m'enjamba et, pliant un peu les jambes, mit son sexe devant ma bouche. Sa blondeur rendait ses poils transparents et je voyais, pour la première fois, le sexe d'une autre face à la hauteur de mon visage, elle l'approcha de ma bouche ; je sentais sur mes lèvres ses poils qui le chatouillaient et cela m'excita au plus haut point. J'eu envie de goûter à ce joli fruit qui ne m'était plus défendu !
Ma bouche s'ouvrit et je gobai son sexe, ma langue se glissa en lui et je ressentis le goût de sa mouille qui coulait d'abondance, je la bus avec délice, retrouvant le goût de la mienne et lui trouvant le goût de l'amour. Puis ma langue remonta et dégagea son clitoris qui se dressais et que je mordillais et léchais avec passion.
Elle écarta son sexe de ma bouche, se retourna, puis me présenta ses fesses quelle écarta de ses mains. Je voyais son petit trou, du même brun clair que ses mamelons, légèrement plissé et, répondant à son invite sans équivoque, ma bouche alla donner un baiser à son anus, ma langue se glissa, comme une petite queue, dans son cul et elle me dit en gémissant " C'est bon, encules-moi avec ta langue ! ".
Ces mots m'excitèrent encore plus et je lui mangeais le cul avec ardeur.
Elle avança d'un pas, arrachant à ma bouche cet anus que ma langue labourait avec passion, se retourna vers moi. Je vis ses doigts écarter son sexe et elle me pissa dessus, comme ça, sans prévenir.
Le jet m'atteignit en pleine face et la surprise me fit ouvrir la bouche que son urine envahit. J'étais le dos au mur et ne pouvais reculer. Sa pisse descendit ensuite sur mes seins, puis sur mon sexe. A ma grande surprise je fut subjuguée par cette audace et je me précipitais vers son sexe pour boire les dernières gouttes qui en sortaient. Ma langue nettoya consciencieusement sa chatte et je me levais. Je l'embrassait sur la bouche lui faisant cette fois-ci partager les gouttes de son urine.
Elle me sourit et me dit " A toi, cette fois-ci, de me donner ta douche dorée et à moi de te boire ". Elle s'accroupit et s'assit par terre. Je levais une jambe et posais un pied sur son épaule, la regardant, les yeux fermés, attendre mon urine sur son visage. Je lâchais un long jet de pisse, tenant mon sexe à deux mains pour en diriger le jet. Elle avait ouvert largement sa bouche et je la vit déglutir pendant que ma pisse giclait dans sa bouche et en ressortait en cascades, puis je lui arrosai les seins et sa chatte dont elle écarta largement les lèvres pour que le jet la pénètre bien.
Epuisée je m'assit à côté d'elle et posai ma tête sur son épaule et je lui dit " Je t'aime ! ", " Moi aussi " répondit-elle.
Nous nous rinçâmes, nous rhabillâmes et sortîmes ensemble, bras dessus bras dessous, comme de bonnes copines, ou plutôt comme deux amantes commençant une liaison douce et violente, venant de découvrir l'âme sœur et le corps frère, le vrai symbole de l'amour lesbien que je venais de découvrir. Je ne déteste pas les hommes pour autant et souhaite à toute femme de vivre une telle expérience au moins une fois dans sa vie.
Frédérique.


A bientôt, mon prochain billet sera consacré à mes amies transgenres, photos de salopes à gros sexe, de chiennes lubriques et perverses garanties...
Par Belinda - Publié dans : Uro-Peeing
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Vendredi 12 décembre 5 12 /12 /Déc 18:14
Non, je ne vous ai pas oublié, je suis simplement très surchargé côté job, si bien que j'ai négligé ce blog pendant quelques temps.

Pour me faire pardonner voici tout d'abord une petite histoire (uro - lesbos) :

"La flaque" de Helena Sevigsky.

Ensuite, vous pourrez trouver un accès vers une nouvelle galerie de photos où les jeux uro se font à plusieurs pour plus de plaisir avec des pisseuses toujours plus salopes !!!

Nota : Soyez patient au téléchargement, la galerie est bien remplie !



LA FLAQUE

Je suis divorcée et ça y est j'ai dépassé cette fatidique quarantaine.
Quelques mots sur moi : Blonde naturelle d'origine polonaise, 1,55 m, j'ai longtemps gardé les cheveux longs. Ma peau est pâle et craint le soleil, mes seins sont trop gros et j'ai comme disait Sophie dans ses moments de gentillesse : " un grand nez qui donne à mon visage un petit air canaille ". Je ne me plais pas mais je plais. Pas à tout le monde, mais je plais.
Gamine, je fantasmais plus sur les filles que sur les garçons.

- Ça te passera quand tu rencontreras un homme que tu aimeras ! M'avait dit ma marraine à qui j'avais confié mes angoisses.

Je me suis marié trop tôt à un garçon charmant et intelligent, qui me foutait une paix royale, j'étais vierge, je l'aimais, pas une foudre de guerre au lit, mais attentionné, il n'oubliait jamais mon propre plaisir.
Je ne l'ai trompé que deux fois, une fois avec un homme, c'était sympa mais ça ne m'a pas laissé un souvenir inoubliable, une autre fois avec une femme, et là cela m'a laissé un souvenir ineffaçable ! Mon mari me trompait à tour de bras, je fermais les yeux, je lui demandais simplement de ne pas prendre de maîtresse.
On a fini par se séparer, non pas à cause de ce que je viens de dire, mais tout simplement parce qu'on ne faisait plus rien ensemble, sinon bouffer et dormir. On ne s'est même pas fâché, et parfois on se téléphone.
J'ai essayé d'apprendre à vivre toute seule. Je n'ai pas mon permis de conduire, faire les courses au supermarché qui est à deux kilomètres avec mon caddie devint vite une corvée. Je me rendis compte que je n'avais jamais éprouvé le besoin d'apprendre comment faire fonctionner le magnétoscope. J'étais incapable d'effectuer une réparation, appelant l'électricien alors qu'il fallait juste changer un fusible. La goutte d'eau de trop fut quand je voulus refaire la peinture de ma cuisine, une catastrophe, j'avais tout simplement le vertige sur mon escabeau. Il me fallait un mec ! Mais d'autre part ma nouvelle liberté avait fait ressurgir de vieux démons et c'est souvent que je masturbais en m'imaginant au lit avec une femme.
Je ne me masturbais d'abord qu'en pleine nuit, dans ma chambre et sous mes draps, mais j'ai vite réalisé que cela m'excitait davantage de le faire en pleine lumière pour me permettre de regarder mon corps sous la jouissance. Je me donnais ainsi du plaisir les jambes écartées, deux doigts d'une main dans la chatte tandis que l'autre pinçait mes tétons. Un jour après avoir joui, je me rendis compte que les rideaux de la chambre n'étaient pas tirés à fonds. Peut-être m'avait-t-on vue ? D'autres en seraient mortes de honte. Pas moi, sans doute un vieil exhibitionnisme refoulé qui remontait à la surface !
A ma boîte, le volume de travail dans mon bureau baissait dangereusement, et on me proposa une mutation dans un autre immeuble. Enfin quand je dis " proposa "… Me voici donc à La Défense (40 minutes de trajets en plus) dans un environnement inconnu. On m'explique le boulot, ce n'est pas très compliqué.
Il y a dans le bureau une belle blonde (fausse) les cheveux tirés en arrière et maintenu par une petite queue. Mon dieu qu'elle est belle, je n'arrête pas de la reluquer. Si ça continue, elle va s'en apercevoir, j'essaye de me dominer, mais cette fille est un véritable aimant. J'essaie de me dominer, les femmes attirées par les femmes ne sont pas si nombreuses que ça, et même si c'était le cas, pourquoi serait-elle libre ? Plutôt la garder pour mes fantasmes. Voilà la solution, ce soir je me masturberais en pleine lumière en pensant à elle. Je suis tout excitée et sens une tiédeur moite dans ma culotte, il va falloir que je me calme ! L'aimant refonctionne, je la regarde à nouveau, et cette fois elle s'en est aperçue et me balance un doux sourire ! Je rêve ou quoi, je suis en train de fondre !
J'essaie de me concentrer sur mon travail et parviens à me calmer. Une heure après sans doute, la voici qui s'approche de mon bureau, je peux la voir entière. Elle est craquante, les seins ne sont ni trop gros ni trop petit, elle est plus grande que moi, elle me tend une enveloppe non cachetée. Elle se penche, et l'espace d'un instant j'aperçois un sein dans le déboutonnage de son chemisier. Je ne sais plus ou me foutre. Elle se redresse, et dans cette position personne ne peut plus rien voir.

- Je pense que c'est à vous ce document ?
- Non !
- Si ! Si ! il y a votre nom à l'intérieur !
- Ah bon merci !

Elle regagne sa place, je sors de l'enveloppe un bout de papier plié en quatre. Je lis stupéfaite : " Si tu veux me joindre après 19 heures, voici mon téléphone personnel. Pour ce qui est du bureau, sois discrète, ma réputation est faite mais pas la tienne. Bisous (si tu veux)"
C'est pas vrai. ! Je m'efforce de ne pas regarder dans sa direction, le papelard je l'ai lu dix fois, vingt fois, je l'ai appris par cœur.
En sortant du boulot, je ne rentre pas chez moi, je décide de rester à Paris jusqu'à l'heure du coup de fil. Dès fois qu'elle me demande de la rejoindre. L'attente m'angoisse, il fait très chaud, une douche m'aurait fait du bien, je vais boire un truc dans un bistrot afin de profiter des toilettes pour me remaquiller.

- Allô c'est Hélène !
- J'étais sure que tu téléphonerais !
- Je n'ai pas été très discrète !
- Peu importe, j'adore ce genre de situation… Tu es où en ce moment ?
- Dans un bistrot prés du Forum
- T'es libre ?
- Oui ! (J'ai failli crier !)
- Et bien, explique-moi où il est ton bistrot et j'arrive dans une petite demi-heure !

La petite demi-heure dure déjà depuis 35 minutes et toujours pas de Sophie à l'horizon. Après 10 nouvelles minutes, je retéléphone, ça ne répond pas, elle est donc en route… ou alors elle s'est foutu de ma gueule, ou il lui est arrivé quelque chose ou alors…

- Bonsoir Hélène !
- Bonsoir… Euh ! Je peux t'embrasser ?
- Bien sûr !

Elle se déplace pour me faire un bisou et au lieu de s'asseoir face à moi elle s'installe à mon côté. Elle défait un bouton de son chemisier et écarte légèrement le tissu, puis se positionne afin que je puisse y plonger mon regard. Elle n'avait pas les seins nus comme je l'avais cru tout d'abord, mais un soutien gorge à balconnet, ce qui ne change pas grand chose….

Je me souviendrais toujours de nos premiers propos échangés où en deux phrases elle jeta aux orties quelques idées que j'avais pourtant bien arrêtées.

- Alors comme cela t'es attirée par les filles !

Alors je lui sors mon couplet, non, je ne suis pas lesbienne, je suis bisexuelle, et puis un homme c'est quand même pratique, et je lui parle de mes petits soucis domestiques ! Elle m'écoute sans m'interrompre, elle sait écouter, et soudain elle balance :

- Mais Hélène ! Tous ces trucs dont tu me parles, ça s'apprend ! Comment je fais, moi ?

Je ne sais plus quoi répondre !

- Ouais t'as peut-être raison !
- Je t'emmène chez moi ?

J'acquiesçais de la tête, ivre de bonheur, incapable de sortir un son.

Non, je ne vous raconterais pas cette torride première soirée, un jour peut-être. Sophie est devenue ma maîtresse. Jamais je n'avais connu un tel bonheur, le plaisir d'être avec quelqu'un que l'on aime et puis son savoir-faire qui m'épuisait littéralement en orgasmes à répétitions.
Elle avait ses cotés chiant.
Dans le catalogue des réflexions à deux balles sur les lesbiennes. Il y a toujours un imbécile qui posera la question stupide : C'est laquelle qui fait l'homme ? J'essayai de répondre que les amours entre femmes sont justement autre chose, et qu'il est ridicule de recréer des rapports sin
geant ceux des couples ordinaires.
N'empêche qu'elle me dominait, mais c'était un jeu et je m'y prêtais volontiers.
Un jour pour me punir de je ne sais pas trop quoi (elle était toujours en train de me punir !) elle a voulu me faire le ménage à poil avec le manche du plumeau enfoncé dans mon cul pendant qu'elle, assise comme un pacha dans le fauteuil bouquinait un roman policier. Bien sûr ça n'a pas tenu longtemps et en plus ça m'a fait mal au cul, mais ce genre de situation avait le don de m'exciter !
Et puis elle avait des idées spéciales, un jour pendant l'amour elle m'a carrément pissé dessus.

- Mais t'es givrée ou quoi ?
- Pourquoi ? C'est pourtant d'un classique, il faut sortir ma grande…
- Je ne veux pas de ça !
- Bon, d'habitude ça ne choque pas tant que ça, mais c'est comme tu le sens !

Et sur ce elle se lève du lit

- Tu fais quoi ?
- Ben je vais pisser dans les chiottes !

En revenant, elle enfila une robe de chambre !

- Qu'est ce que t'as, t'es fâchée ?
- Je ne suis pas fâchée, je suis contrariée !
- C'est pas de ma faute si tu as des idées bizarres !
- C'est pas de ma faute si tu as des inhibitions !
- Ce que tu peux être chiante, bon allez pisse-moi dessus ! Puisque ça te fait vraiment plaisir !
- Je n'ai plus envie !

Le " boudage " sexuel dura quelques jours. Je décidais donc de mettre les pieds dans le plat.

- Bon, écoute Sophie, on n'est pas obligé d'avoir les mêmes fantasmes ! Alors je veux bien que tu me pisses dessus, ce que je ne veux pas c'est que ça devienne systématique. Et puis, je ne veux que la pisse ! Pas autre chose ! Ça te va comme ça ?
- C'est quoi autre chose ? Tu as peur que je te chie dessus ! Alors là je te rassure, la merde ça pue et c'est dégoûtant, et c'est vraiment pas mon truc ! La merde et la pisse c'est deux choses différentes, ça n'a rien à voir !
- Alors d'accord !
- Et toi tu me pisserais dessus ?
- Mais t'es malade, je suis incapable de pisser sur quelqu'un !
- C'est pas difficile, tu fermes les yeux et tu te forces !
- Mais je ne veux pas ! Pas tout à la fois, Sophie !
- Et si je te pisse dessus, t'en boira un peu ?
- Tu cherches quoi ? A me provoquer ?
- Je te signale que sauf quand on a mangé des asperges, le goût de la pisse n'a rien de désagréable, mais arrêtons là-dessus. Non, je ne provoque pas ! Je vois bien que ça te gênes, mais tout le monde à des pulsions cachées au fond de soi. Je n'aborderais plus le sujet pendant quelques semaines, mais je voudrais simplement une chose :
- Dis toujours !
- Je voudrais que maintenant à chaque fois que tu iras pisser, l'idée d'en déposer un peu sur tes doigts et de les lécher te vienne dans la tête !
- N'importe quoi ?
- Bon et maintenant on ne parle plus de ça et on fait la paix ! Viens m'embrasser !

On a du faire l'amour après, je ne me rappelle plus, mais sans pipi ! Quant à son idée ridicule j'espérais bien qu'elle allait disparaître de ma mémoire aussi facilement que ses autres idées biscornues !
C'est en allant pisser que sa phrase me revint en tête ! Elle est vraiment allumée la Sophie ! N'empêche que cela devenait obsessionnel, j'étais beaucoup plus troublée que je ne l'aurais imaginé par ce jeu pervers. Plusieurs fois, je me mouillais les doigts, mais me dégonflait toujours au moment de les porter à ma bouche, il y avait bien l'odeur, mais la pisse fraîche ne sent pas grand chose, et cette odeur, cette légère fragrance ressemble tellement à celle de la chatte de Sophie. La solution était peut-être là, me contenter de l'odeur… Non ! Je savais maintenant qu'un jour je le ferais. Quel magnifique cadeau ce serait pour Sophie !
En fait les choses ne se passèrent pas tout à fait comme cela :
Nous étions sorties avec deux de ses copines. Elle m'agaçait à m'imposer ses copines, mais celles-ci étaient malgré tout supportables. Nous consommions à une terrasse de café.
On avait beaucoup bu et quand je suis un peu saoule, je ris sans arrêt, et là j'avais vraiment trop bu !
A force de rire et de boire une énorme envie de faire pipi vint me tordre le ventre. J'avais peur de me lever pour aller aux toilettes, je commençais à avoir le tournis…
La crainte de me faire pipi dessus me fit encore plus rire, mais pas longtemps, cette fois je serrais fort les cuisses, de véritables crampes me torturaient le ventre, mais comment demander à Sophie de me soutenir sans lui faire honte devant ses amies ? Je devais être blanche quand les premières gouttes arrivèrent, mon seul réflexe fut de retrousser ma jupe sous mes fesses pour ne pas la tacher. Le froid de la chaise sur mes fesses n'arrangea rien. Je paniquais comprenant qu'il ne m'était plus possible d'arrêter le flot. Je m'excusais en disant qu'il me fallait aller d'urgence aux toilettes. Une fois seule il fallut faire vite, ma culotte était déjà toute mouillée, je me levai et m'aidant des murs me sauvai vers les W-C. Je réussis tant bien que mal à baisser un peu ma culotte. Je fit un pipi énorme, mis ma culotte mouillée dans mon sac et m'aspergeai un maximum pour essayer de chasser les vapeurs d'alcool. En revenant j'eus la surprise de voir Sophie occuper ma place ! Je ne compris pas, elle allait avoir le cul trempé. Sans trop chercher à savoir, je m'assis donc à la sienne.

- Tu es belle ce soir !
- Pourquoi ce soir ?

Et puis quelle idée de me faire une déclaration devant les deux autres pétasses ! Sophie tendit sa main vers mon visage, sa main était légèrement humide, je ne compris pas tout de suite ce qui allait se passer. Elle approcha ses doigts de mes lèvres !

- Lèche !

Je le fit et réalisa enfin, effectivement cela n'avait rien de dégoûtant, et tandis qu'un plaisir trouble envahissait l'intérieur de mes cuisses, je décidais de l'étonner, la Sophie !

- Donne-m'en encore !

J'ai encore en mémoire le visage de Sophie, rayonnante du présent que je lui faisais.
Sophie proposa alors d'aller boire un dernier verre chez elle, nous nous sommes levées.
Je repartis dans un fou rire en passant devant la table où nous étions, sur la chaise que quittait Sophie, une petite flaque attendait le prochain client...



Par Belinda - Publié dans : Uro-Peeing
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Samedi 22 novembre 6 22 /11 /Nov 15:40

Encore plusieurs dizaines d'images de petites salopes perverses en train de pisser pour votre plus grand plaisir.

A la vile ou à la campagne, dans la cuisine, la salle de bain, le salon, les toilettes... elles s'en donnent à coeur joie...



Plusieurs autres albums sont en préparation pour les jours prochains.

A bientôt...

Par Belinda - Publié dans : Uro-Peeing
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  • 02/01/1965
  • Salope vicieuse Latex Vinyl Corset
  • Je suis une fan de tenues en latex, vinyle, de corsets très serrés, de lingerie sexy, de jupes très courtes et de chaussures à talons très hauts. J'aime les tenues provocantes... ou très BCBG.

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